L'histoire de Cyril le pécheur à Vasily, l'abbé des Grottes, sur l'homme biélorusse et la minorité, et sur l'âme et le repentir.
L'intrigue de l'œuvre remonte à l'un des apologistes de "The Tale of Barlaam and Joasaph". Ce monument, comme d'autres paraboles de Cyrille de Turov, a été construit sur l'interprétation de l'allégorie. Le protagoniste du conte est le roi. On dit de lui que, étant gentil et miséricordieux envers son peuple, il était négligent. Il n'avait pas peur d'être attaqué et ne détenait donc pas d'arme militaire. Tout le temps que le roi passait avec de nombreux conseillers et amis. Mais une nuit, une rébellion a éclaté dans la ville. Le tsar n'est pas en mesure de discerner ce qui s'est passé: peste, inondation, une certaine maladie ou insatisfaction face au pouvoir.
Afin de savoir ce qui s'est passé, le roi se rend avec ses conseillers à la ville, mais ne comprend rien, il n'arrive pas à trouver la raison des troubles. Parmi les conseillers du roi, il y a un conseiller prudent qui conduit le roi et sa fille à une grande douleur. Dans la montagne, le roi voit une grotte, de la fenêtre de laquelle brille une aube lumineuse. En regardant par la fenêtre, le roi remarque une habitation à l'intérieur de la grotte, où un certain homme est assis, habillé comme un mendiant, et à côté de lui est une femme chantant de merveilleuses chansons. Devant eux se tient Quelqu'un beau et grand, les traite et leur tire du vin.Le roi, en regardant cela, s'exclama que dans cette vie secrète, ils s'amusent mieux et plus honnêtement que dans son état.
L'auteur interprète lui-même en détail les images allégoriques utilisées par lui: la ville est une personne; Tsar - son esprit (une image assez courante dans la littérature russe ancienne); armes militaires - jeûne et prière, pureté corporelle; conseillers et amis - pensées mondaines qui ne donnent pas la possibilité de penser à la mort; la nuit est une rébellion aveugle du monde terrestre; conseiller prudent - tristesse mondaine; la fille du roi est une âme humaine; la montagne est un monastère; venir au chagrin - une personne qui fait vœu à Dieu; un mari déguisé en mendiant est un moine, un rang monastique; femme chantant de merveilleuses chansons - souvenir de la mort; Quelqu'un beau et grand est Christ lui-même; rafraîchissements et vin - communion. Ainsi, la didactique du "Conte" est la glorification de la vie "cachée", c'est-à-dire le monachisme. L'œuvre retrace clairement l'idée de la priorité du pouvoir spirituel sur le profane.